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Chapître n°3 Le
développement forcé de la démographie contre
l’avis des habitants et en dépit d’un
développement initial de la rénovation possible,
potentiel du bâti existant important sur les hameaux des Pierrys,
de Train et des Maisons Basses. Développement :
Les hameaux des villages à
proximité directe des versants de la Vallée du Madet
constituent un potentiel important de bâti existant à
rénover.
A l’image suivi jusque là pour l’ensembles des principaux hameaux de la commune, la rénovation a toujours été le point de départ du développement initial de constructions supplémentaires possibles. A l’origine, c’est le hameau de Marciolles qui a connu un développement pavillonnaire longitudinal aujourd’hui regretté, directement en plroximité de l’entrée de Billom. On y voit à présent effectivement la nécessité d’envisager un développement plus regroupé en térme de définition de hameau comme le préconise le Grand Clermont. Le hameau de La Boissière a également été largement réinvesti et après avoir vu son bâti existant rénové, connaît un accroissement continu limité à quelques unités de constructions jouxtant l’accès direct à la route départementale et bénéficiant aussi de points de vues exceptionnels dont ceux liés à la proximité immédiate du Château de Mauzun voisin. Le choix de constructions individuelles favorise le plus grand respect à la Charte derestauration du bâti existant édité par le Parc du Livradois Forez « Rénover et construire sa maison à Billom/Saint-Dier ». La déviance de l’orientation à l’accroissement de la population a conduit à un tout autre Développement du hameau du Mas d’Autheyras, plus désordonné et qui doit projeter à présent sur un développement très important encore risquant de voir se doubler la capacité actuelle d’accueil. La proximité du Château du Mas d’Autheyras n’y a été d’aucun effet, pas plus que la voierie principale d’accès n’a évolué en rapport à l’accroissement de la population y résidant. Pour ce qui est des hameaux de Train, les Pierrys et les Maisons Basses, le Projet d’assainissement collectif n’a pour sa part pas été concluant aussi bien en terme technique de regroupement que de coût. Cela reste un problème pour ses habitants conscients des contraintes de la réglementation. La construction d’un lotissement situé sur la zone 1AUc, ne nous semble pas respecter la logique qui devrait faire prévaloir le potentiel de rénovation du bâti existant à plus long terme et non dans l’urgence par la nécessité d’implantation de zone privilégiée d’habitat de type locatif. On pourrait bien alors se demander quel développement existerait d’autre que celui de ce lotissement dans le futur en marge du village. Cela ne risquerait-il pas d’annexer complètement l’existant dont les possibilités actuelles de rénovation sont reconnues comme très restreintes de par les difficultés d’assainissement non résolue. Le Choix d’un type de constructions locatives sous forme de lotissement ne nous semble pas non plus approprié tant la réussite reste incertaine et cela malgré les préconisations possibles. C’est une inquiétude importante du respect d’une certaine charte environnementale. Là aussi le coût risque bien d’être déterminant d’autant que la configuration du site reste très accidentée et située sur une zone dite sensible. Les précisions en ce sens ne nous semblent pas assez avancées dans la rédaction du règlement. Une étude de coût aurait pu être envisagée. A cela vient s’ajouter le fait que cette zone se situe sur un sectional et que malgré que l’on Puisse imaginer son transfert en communal, la concertation avecses habitants aurait été d’autant souhaitable comme avancée en condition de réussite encore une Fois d’un PADD et donc du PLU qui doit en découler Alors que dans le PADD, le seul rapport à favoriser la restauration du bâti réside dans l’écriture du cadre de respect des techniques et matériaux locaux conformément au document édité par le Parc du Livradois Forez « Rénover et construire sa maison à Billom/Saint-Dier », il n’apparaît aucune intention dans le PLU à le développer concrètement. |